Bonjour/soir/nuit/aube à vous ou toute autre entité capable de lire et comprendre ce texte.

J'ai reçu la demande d'un ami, il a un peu de mal à lancer sa chaîne youtube et a besoin de votre aide afin d'accroître son nombre de vues par vidéos. Je lui ai promis de passer une petite annonce sur ce blog, je crois que c'est chose faite ! ^^"

Voilà le lien de sa chaîne : http://www.youtube.com/user/Franklin14183945

N'hésitez pas à aller y faire un tour, c'est sympa.

Amicalement,

Narcose.

C'est à notre oreille que le merveilleux s'éveille...

Allongé sur l'herbe du soir

J'écoute la terre penser,

Me dicter tous ses grands secrets

Et même tous ses petits espoirs.

Inhalant la douce verdure

J'écoute la cime des arbres,

Ne pouvant même laisser de marbre

Les maisons proches qui perdurent.

Dans le ciel, le chant des oiseaux

Orchestre une douce mélodie

Qui joue là, rôle de symphonie ;

Et plus loin, les cris des enfants

Qui résonnent puis nous dépassent,

Comme un défi au temps qui passe.

Réalité d'une soirée.

Paradis paradigme

Utopisons une contrée

Où nous est permis de rêver

Des manèges de belles couleurs

Et des gens trop plein de bonheur.

Imaginons quelques instants

Ce que chacun désire du temps

Afin de retourner en arrière

Et recommencer à l'envers.

Envolons-nous dans ces replis

Découpant maître Univers

Créateur de toutes ces barrières,

Atterrissons là - par ici,

Derrière cette sale noirceur

Réside une écarlate blancheur.

Débuter une nouvelle vie en connaissance...

Vivre est une joie

Désillusions de la nature

Les fées et farfadets sont là,

Ils se cachent derrière cette tenture

Que sont les fleurs d'hortensias.

Du violet au bleu parfait,

Jamais ils ne sont dérangés

Et le chant magique des forêts

Les embaume de ses bras croisés.

Ha la la, Nature est si belle

Lorsque ces petits êtres bleus,

Parfois un petit peu grincheux,

Cueillent leurs jolies salsepareilles

Et ainsi sont de bonheur ivres ;

D'une grandiose joie de vivre !

Souvenirs de la Noraie et ce qu'elle représente.

Le vagabond d'utopies

C'est l'histoire de l'homme vagabond

Rêvant entre ciel et nuages

D'un amour - triste désillusion.

Il chantonne pour sa dulcinée

Il crie de joie sur son passage,

Chaque jour et plus de l'année.

Il est fou, fou d'un grand amour,

Celui que l'on espère connaître,

Celui qui vit depuis toujours.

Quand regardera-t-il enfin ?

Quand remarquera-t-il que paître

Dans ces vers paturâges - c'est la fin.

Son coeur est ses yeux,

Il est je.

Course éperdue face au réveille-matin

L'herbe est douce, le soleil fragile,

Les plaines sont dures, les monts abrupts,

Nature tranquille, esprit vacille,

Tout ceci vit - Turlututut !

La lapin blanc gambade parmis

Ces êtres de rocs et magies,

Va, cours, vole ! Surtout pars d'ici,

Ne reste pas, je t'en supplie.

Le temps te rattrape, il est là,

Grande pendule pendulant,

Ses aiguilles te distancent en bas

Plus rien ne vit sauf les flamants.

Roses, roses, les pattes sont roses.

Ils te cherchent et s'ils te découvrent :

Le temps de l'univers propose

Un simple retour qui s'entrouve.

Je t'aime, moi, mon petit lapin,

Si tu veux viens chez moi, arrête,

Repose-toi et profite enfin

De cette vie que je t'offre.

Non Alice, il est temps.

Le ballet Venteux des korrigans

Le vent s'essoufle dans le feuillage,

Les korrigans s'affolent, volant,

De tout temps, à travers les âges,

Les embruns assiègent nos rivages.

Parcourant l'univers, le monde

À la recherche de korrigans,

Le vent survole ces terres fécondes

Et de la douceur les inonde.

Virevoltons chères amies,

Il est là et mène la danse,

Que chacun se tienne la panse !

Virevoltons chers ennemis,

Tenons-nous la main cette fois,

Ensemble ré-inventons la joie !

Sonnet cadensé censé être chantonné.

Bonjour lecteurs !

Premier poème de la semaine -et sûrement le dernier, j'espère qu'il vous fera réfléchir autant que moi sur le sujet.

Manque d'égalité ?

Les yeux s'éveillent, énervement.

Le nez inspire, agacement.

La bouche s'étire, grossièrement.

Le menton braille, innexpressif.

Bon week end à vous !

Amicalement,

Narcose.