• Salut tout le monde !

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  • Le fond des choses

    Dans une corbeille à fleurs, disparaissent les parfums d'imaginations des pétales en folie. Dans une corbeille à fleurs, les blondes séjournent de tulipes en dansant marguerite d'un rosier aux senteurs parfumées. Dans une corbeille à fleurs, s'envolent les cris des hirondelles en papier blanc d'un rythme aux visions inquiètes. Dans une corbeille à fleurs, Elle glisse aussi en bouquet, emprisonnant de son vert regard ces courtes strophes.

    Ô la fantaisiste ! Ô la jongleuse !

    Les mots volent et tournent en baisers de mains aux lèvres trop petites. Broussaille aromatique de lettres; disparaît !


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  • "Le poème, cette hésitation prolongée entre le son et le sens."

    (Paul Valéry)

     

    Intéressant…

                                                            image de Ben Heine (http://www.benheine.com/

     

    Pourrait-on dire de cette image "une hésitation prolongée entre la couleur et la forme" ?

     

     

     

     


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  •  

    Bonjour chers internautes !

    Nous voici blog de la semaine sur l'annuaire blogswizz, un grand merci à vous tous qui venez chaque jour si nombreux. Z'êtes sympa !

     

     Blog de la semaine

     


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  •  

    "Le temps, c'est des instants à vivre."

    (Narcose)     

     

    Temps de vie

     

     


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  • Éden lunaire

    Je n'ai pas oublié, voisine de mon cœur,

    Notre vaste jardin parfumé de blancheurs,

    Ses arbres de papier et de douceurs mêlées,

    Dans la prairie cachée de nos esprits croisés.

     

    Et cette lune brune dansante et câline,

    Qui de son grand œil fixe au loin et fascine,

    Nos deux proches reflets, ternes de leurs désirs,

    Quand les pleurs creusent leurs paupières de plaisirs.

     

    Lovelace parfait, jette-toi du passé,

    Accompagne encore nos morbides portraits,

    Puis suspends ton allure à l'aurore du futur,

    En te jetant du haut de ta caricature.


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  • Poème de Felyx :


    À Vincent B.

    Perdu


     Un vide de néant,

    Un infini sulfure,

    Et toi qui est présent,

    Un passé sans futur.

     

    Jeunesse tombée,

    Un miroir brisé,

    La lame des larmes

    Vient avec vacarme.

     

    Un instant, tout s'est tu ;

    Un instant, Tout, c'est Tu.


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  • Laisse-toi mener par ces vers, entre dans la ronde de ces rimes et apprends que pour écrire...

    Tu as seulement besoin de ton coeur.

     


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  • Un coin à femmes

    Mes idées ont brillé des lueurs de ses yeux,

    Vives pensées : pour y voir danser les sirènes,

    Mes lèvres ont gouté de ses baisers délicieux,

    Sans semonce, livrées à sa poitrine de reine.

     

    À rythme doux d'une femme dévastatrice,

    Rongé dans les premiers froids d'un cœur ramassé,

    J'endors ma rêverie pour qu'elle ne refleurisse,

    Pensant qu'en cette fin je serai consolé.

     

    Et te voilà odieux souvenir qui m'opprime,

    Transforme mes dernières sensations en une âme,

    À la recherche d'autre chose qu'un linceul de rimes,

    D'une odeur disparate d'un coin à femmes...


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  • Pétales de papillons d'aurore

     

    D'un geste de la main, balayé passé ancien, décimé espoir du matin ; arrivent à moi les dangers de la solitude, vient à vous un nouveau désespéré. J'avais promis des sourires et des cris de joie doublés d'un parfum d'amours aux senteurs propres aux baisers d'été. Toutes ces longues promesses furent envolées, fauchées par une lame d'acier d'un ange au cœur de fer...

    Alors non ! Je me révolte contre mon amour ! Prends mes armes d'encre et de chagrin et renverse l'impensable et bouleverse ce qui aima d'un amour véritable. Le chagrin goutte noir, tandis que l'encre apprend de sa couleur ; tu paniques je le vois, c'est ainsi aujourd'hui : seul contre toi...

    Du haut de mon bonheur imaginaire, je saute et tombe de la terre jusqu'au Ciel pour m'élever parmi les astres en papillons d'aurores. Jamais plus, toujours banni, je n'utiliserai mes parachutes de nuage, finis les lents atterrissages, place au libre vol et dur envol du fou sans amour !..

     

    J'écris à nouveau !


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